Mario: infirmier, codeur et curieux
Mário a été infirmier en soins intensifs pendant 15 ans, au Portugal puis en Valais, avant de se tourner vers le codage médical. Il évoque avec enthousiasme comment ce métier lui permet une compréhension théorique globale de chaque suivi médical. Quand il rejoint Swisscoding en 2018, ses copains ne comprennent pas qu’il puisse s’intéresser à une entreprise qui fait tout à distance et dont il n’a jamais rencontré ni les responsables, ni les collègues. Et si c’était une fraude ? Il a décidé de prendre le risque.
S’il n’a encore rencontré aucun de ses collègues en chair et en os, il se félicite de ce choix qui lui laisse une très grande liberté d’organisation personnelle tout en répondant parfaitement à ses aspirations professionnelles.
1. Comment as-tu connu Swisscoding ?
C’est une ancienne collègue qui m’a envoyé une de leurs annonces. À l’époque, j’avais fait le choix de retourner vivre à Porto et là-bas, c’étaient les médecins qui codaient les cas. J’ai contacté Stefan, qui quittait justement Lisbonne, on s’est parlé en vidéoconférence et j’ai rejoint l’équipe.
2. Qu’est-ce que tu aimes spécialement chez Swisscoding ?
D’une part, le fait que Swisscoding a créé et développe tant de programmes pour faciliter le codage, et que nos logiciels sont en constante évolution. En plus, le travail à distance me convient parfaitement : d’abord parce que je peux travailler depuis le Portugal, ensuite parce que j’y trouve juste ce qu’il me faut de contact avec les collègues, de suivi et d’entraide, sans les complications humaines qu’on a parfois dans les équipes de soins.
D’autre part, les informations sont toujours très fluides et parfaitement transparentes. Et ça fonctionne : la boite est en pleine croissance et elle fait un boulot magnifique ! Selon moi, c’est le modèle d’une entreprise du XXIe siècle.
3. Quel type de personne aimerait travailler à Swisscoding ?
Quelqu’un qui cherche une structure basée sur la flexibilité à tous les niveaux, dans un fonctionnement tourné vers toujours plus de fluidité, toujours plus de mises à jour et toujours plus de recherches de solutions en continu. Il faudrait aussi avoir la volonté de s’adapter en apprenant de nouvelles façons de faire. Il faut aussi absolument accepter qu’on peut se tromper, même quand on a beaucoup d’expérience : une personne qui penserait tout savoir ne pourrait pas aimer nos manières de travailler. Il faudrait encore avoir un tempérament indépendant : nous avons un contact direct avec nos collègues et nos responsables, et le soutien est très présent, mais c’est sûr que je ne vais pas les solliciter toutes les deux minutes…